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Posted: Sun Nov 12, 2006 10:12 am
Est-ce que les nouvelles reformes vous font peur ? Ce matin a la tele, ils disaient que maintenant, au secondaire, il n'y aurait pas d'education sexuelle avant le 3e secondaire, et que ca serait aux professeurs des autres matieres d'integrer ca dans leur cours. (je vois mal un prof de math reussir cet exploit... m'enfin)
En plus, comment voulez-vous que que ca soit bien faite, ils ne sont pas du tout formes pour ca. Ils l'expliqueraient selon eux, selon leurs opinions, selon leur definition de la normalite. S'ils sont homophobes par exemple, on parle ici d'une transmission de leurs peurs et de leurs prejuges la !
Avec la montee de la sexualisation chez les adolescents, ca vous fait pas peur de savoir qu'en plus d'avoir des relations sexuelles beaucoup plus jeune (hey oh, on parle d'en avoir en 4-5-6e annee la, come on), ils n'auraient pas d'informations a ce sujet ?
Et messemble que c'est loin d'etre banal la...
Quand tu dis que la question la plus frequente chez eux c'est de savoir si les filles peuvent tomber enceinte apres avoir fait une fellation... exclaim
Qu'est-ce que ca vous fait ? Vous en pensez quoi ?
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Posted: Sun Nov 12, 2006 10:57 am
Je trouve ca vraiment con d'avoir mis ca en secondaire 3 et de pas avoir l'infirmière pour le faire ... Sérieusement la majoriter des gens le font en 6 année primaire et première secondaire mais il ne sont pas super informez ... C'est la que ca va mal.MAIS ! J'ai vu a TVA (et oui j'écoute ca des fois) que les jeunes de 14,15,16 ans savent(80%)ce qu'ils font quand il ont des relations sexuelles mais ques qu'on va faire du 20% qui reste ? Les laisses avoir des enfants ? Voyons donc ... En tout cas tout pour dire que c'est mieux de changer car sinon tout le monde va finir par avoir des enfants ou être avorter à 14 ans -.-
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Posted: Sun Nov 12, 2006 11:32 am
Secondaire 3? Come on, les jeunes savent tout au primaire déjà, je savais même avant que le cours d'educ sexuelle. rolleyes
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Posted: Sun Nov 12, 2006 12:04 pm
Une connerie de plus dans leur réforme de merde... je sais pas comment ils pensent au ministère de l'éducation mais c'est pas fort...
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Posted: Sun Nov 12, 2006 12:09 pm
dargel haruka Je trouve ca vraiment con d'avoir mis ca en secondaire 3 et de pas avoir l'infirmière pour le faire ... Sérieusement la majoriter des gens le font en 6 année primaire et première secondaire mais il ne sont pas super informez ... C'est la que ca va mal.MAIS ! J'ai vu a TVA (et oui j'écoute ca des fois) que les jeunes de 14,15,16 ans savent(80%)ce qu'ils font quand il ont des relations sexuelles mais ques qu'on va faire du 20% qui reste ? Les laisses avoir des enfants ? Voyons donc ... En tout cas tout pour dire que c'est mieux de changer car sinon tout le monde va finir par avoir des enfants ou être avorter à 14 ans -.- J'aimerais ben a connaitre de quel genre de sondage il sagissait pour avoir ces stats la, et quelle marge d'erreur va avec ! Et ya un difference entre un ado qui PENSENT savoir ce qu'il fait, et un ado qui le sait wink Et c'est comme tu dis ! on fait quoi du 20% qui reste ? Et des filles qui pensent qu'elles vont tomber enceinte a la suite d'une fellation ?
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Posted: Sun Nov 12, 2006 12:23 pm
Resident Isaka Secondaire 3? Come on, les jeunes savent tout au primaire déjà, je savais même avant que le cours d'educ sexuelle. rolleyes Les jeunes du primaire et du secondaire se demandent : - « si j'ai des pertes blanches, est-ce que je peux être certaine de ne pas être enceine? » - « mais c con mais comment on fait pour savoir quelle grandeur i porte en condom pass moua jel c pah pis jpense pah ki le c plus » - « Je ma masturbe frquament depui les 14 ans. Est ce que ca c grave pour mon prostate ? Est ce que la masturbation laisse l'homme maigre ?» - « jai remarker un moment donner que yavais de koi de transparent ki sortais de sa queud pis jme demandais pk yavais sah pis cetais koi » - « jvais bientot prendre lah pillule c tu vrai que si on la prend trop lontemps on peux devenir steril? » - « Bien sûr,je sais que je suis un peu jeune mais il m'arrive parfois d'avoir des... sensations juste en regardant des photos de lui.Est-ce que c'est normal? » Bon j'arrete ici, parce que c'est assez concluant : en plus de ne pas savoir comment ecrire, ils se posent une tonne de question... C'est ca, la realite. Enlever les cours de sexualite, ca va juste leur donner encore moins d'informations. Ils savent peut-etre comment mettre un p***s dans le vagin ou la bouche d'une fille, mais ce n'est pas juste ca, à mon avi.
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Posted: Sun Nov 12, 2006 12:39 pm
Myra-el Resident Isaka Secondaire 3? Come on, les jeunes savent tout au primaire déjà, je savais même avant que le cours d'educ sexuelle. rolleyes Les jeunes du primaire et du secondaire se demandent : - « si j'ai des pertes blanches, est-ce que je peux être certaine de ne pas être enceine? » - « mais c con mais comment on fait pour savoir quelle grandeur i porte en condom pass moua jel c pah pis jpense pah ki le c plus » - « Je ma masturbe frquament depui les 14 ans. Est ce que ca c grave pour mon prostate ? Est ce que la masturbation laisse l'homme maigre ?» - « jai remarker un moment donner que yavais de koi de transparent ki sortais de sa queud pis jme demandais pk yavais sah pis cetais koi » - « jvais bientot prendre lah pillule c tu vrai que si on la prend trop lontemps on peux devenir steril? » - « Bien sûr,je sais que je suis un peu jeune mais il m'arrive parfois d'avoir des... sensations juste en regardant des photos de lui.Est-ce que c'est normal? » Bon j'arrete ici, parce que c'est assez concluant : en plus de ne pas savoir comment ecrire, ils se posent une tonne de question... C'est ca, la realite. Enlever les cours de sexualite, ca va juste leur donner encore moins d'informations. Ils savent peut-etre comment mettre un p***s dans le vagin ou la bouche d'une fille, mais ce n'est pas juste ca, à mon avi. Sacrament, c'est pas juste un cours de sexualité que ça leur faut, c'est un bon cours de français aussi -_-" quel massacre
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Posted: Sun Nov 12, 2006 5:41 pm
Articles(Devor, 2005) qui démontrent que les jeunes connaissent le sexe plus tôt que vous ne le pensez : Quote: Ados au pays de la porno Marie-Andrée Chouinard Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005 Mots clés : Québec (province), Jeunesse, ados, porno Des bambines à tresses qui distribuent les fellations dans l'autobus scolaire. Des garçons de 15 ans qui promettent des cadeaux aux petites de l'école primaire d'à côté en échange de faveurs sexuelles. Des adolescentes qui multiplient les «******** friends». Des grands de secondaire 4 qui font des concours de masturbation en pleine classe. La bamboula du vendredi soir qui revêt des allures d'orgie. Vous en avez assez? Vous n'y croyez pas? Eux non plus n'y croyaient pas. Dans l'auditorium d'une école secondaire de Montréal, quelques dizaines de parents écarquillaient les yeux et retenaient mal leur ébahissement -- et leur souffle -- devant les propos de cette conférencière invitée par l'infirmière de l'école pour causer ados et éducation sexuelle. «Je ne veux pas vous alarmer, mais je crois que la situation que l'on vit actuellement dans les écoles est inquiétante», leur avait d'entrée de jeu lancé la sexologue Francine Duquet. «Les jeunes vivent des expériences sexuelles étonnantes de plus en plus jeunes, et la société hypersexuelle dans laquelle ils baignent banalise le phénomène.» Ces parents ont écouté la professionnelle pendant trois heures. Mal à l'aise au début, souvent consternés, parfois même dubitatifs, ils l'ont entendue brosser un portrait en effet inquiétant des pratiques et du discours sexuels de leurs enfants, qu'on dit de plus en plus précoces. Cela tourmente les spécialistes, qui évoquent maintenant avec assurance la «sexualisation de l'enfance». L'âge de la première relation sexuelle se situe toujours autour de 15 ans et demi, mais il pourrait bien s'agir d'un leurre puisque la vogue actuelle dans les écoles donne la cote à la fellation, et ce, même du côté des écoles primaires, où vestiaires et toilettes sont souvent sous haute surveillance. «En ce moment, le primaire est notre baromètre», explique Francine Duquet, professeure de sexologie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). «C'est de là qu'on saisit que ce qui se passe est inquiétant.» Et restez bien accrochés à vos sièges : dans les écoles, la mode est au ******** friend, et ce «copain de baise» n'a pas besoin d'être unique : on peut le multiplier sans engagement amoureux. Les jeunes filles confient pratiquer la fellation dans la pseudo-intimité des cabinets de toilette, en même temps qu'elles révèlent n'avoir jamais embrassé un garçon. Sans s'afficher comme lesbiennes, les demoiselles pratiquent allégrement les caresses entre elles pour émoustiller les garçons, qui en redemandent. Les trips à plusieurs dans l'obscurité des sous-sols sont monnaie courante, et il n'est pas rare que les garçons du secondaire reluquent dans la cour de l'école primaire d'à côté pour recruter une nouvelle élue... sexuelle. Dans une école secondaire de Montréal, la direction a même dû composer avec un drôle de phénomène : assis au dernier rang d'une salle de classe, les garçons se livraient à un concours de masturbation, coursant pour la première éjaculation, au vu et au su des copains et du prof, consterné et paralysé. Pendant ce temps, dans une école primaire, une fillette de neuf ans s'interroge candidement sur la pertinence d'envoyer à son nouveau petit copain une photo de... sa vulve. Sensationnalisme que tout cela, dramatisation et démesure, le tout livré à la sauce journalistique ? «Pas du tout», explique la sexologue Jocelyne Robert, qui vient tout juste d'exposer dans le livre Le Sexe en mal d'amour son ras-le-bol face à cette détérioration de la situation, qui se traduit par «une perte de sens et de signification liés au sexuel, un dérapage de cette société qui nage dans la pornographie et qui, en même temps, ferme les portes sur une véritable sexualité». «Nous n'avons évidemment pas de statistiques officielles sur le nombre de fellations dans les cours d'école, et ce ne sont pas toutes les petites filles de onze ans qui sombrent là-dedans, comprenons-nous bien», confie la sexologue. «Cela dit, ce n'est plus un phénomène anecdotique. Il faut réagir.» «On ne peut plus être naïfs», renchérit Francine Duquet. «On ne peut plus jouer seulement la carte du "Je vais lui faire confiance" ou "Ça s'peut pas ! Pas mon fils, pas ma fille !". On ne peut plus mettre la tête dans le sable.» Mme Duquet sillonne le Québec depuis une vingtaine d'années et rencontre parents, enseignants, professionnels et élèves pour les convaincre de l'importance d'une véritable éducation à la sexualité, «qui dépasserait le condom et les MTS pour entrer dans l'univers des valeurs». Les questions des jeunes l'étonnent. Quoi ? Désormais, on se demande si, lors de la première relation sexuelle, il faut «faire les trois trous» ? On s'interroge à huit ans sur ce qu'est une «bonne pipe» ? Les réactions de certains adultes l'inquiètent. Comment ? Des parents découvrent en catimini que leur princesse de 13 ans utilise comme nom de clavardage «la cochonne» mais n'osent pas intervenir, craignant qu'ensuite, elle ne leur parle plus ? Des intervenants scolaires ne savent pas quoi répondre à un garçon de 13 ans qui se demande si sa petite amie de 12 ans aimerait bien le fist ******** (pénétration avec le poing) ? «Comment se fait-il que le premier réflexe ne soit pas de dire : "Ça n'a pas de bon sens !" et de questionner le pourquoi de ces questions ?», tonne Mme Duquet, qui s'alarme du doublé dangereux que constituent à la fois le plongeon des très jeunes dans un bain sexuel acidulé mais aussi la réaction -- ou l'absence de réaction -- des adultes qui les entourent. À question étonnante, réponse étonnante Vu sur un site de référence destiné aux jeunes : un ado expose un problème qu'il vit avec sa cousine de 12 ans, dont il est amoureux. Lors de leur première relation sexuelle, il tente de la sodomiser et s'interroge sur le fait que la petite crie sans arrêt. «Pouvez-vous résoudre notre problème ?», demande-t-il candidement. Plutôt que de s'étonner de l'âge de l'enfant et du lien familial qui unit les deux cousins, plutôt que d'expliquer les cris tout simplement par la démonstration évidente que la sodomie ne plaisait pas du tout, les intervenants ont d'abord recommandé l'usage d'un lubrifiant, exposant à coups de détails anatomiques et scientifiques que la pénétration anale n'est pas aussi aisée que la pénétration vaginale, une réponse qui a dû être corrigée à la suite d'une intervention condamnant une réponse aussi réductrice. La sociologue Diane Pacom, elle, observe tout cela d'un oeil soucieux. «Dans quelle société pornographique est-on en train de les balancer pour qu'on en soit là ?», demande la professeure de l'Université d'Ottawa. «Il y a une pression constante qui vient de partout : la pub, l'industrie musicale, les vidéoclips, la mode, les magazines. Nous sommes en train de renvoyer aux petites filles, aux gamines, un discours qui les "adolescentise". Et la responsabilité ne revient pas à ces jeunes mais aux adultes !» Partout, en effet, le raz-de-marée sexuel nous submerge. Une publicité télévisuelle de lunettes qui évoque les trips à trois. Un magazine destiné aux ados qui vante les «99 trucs coquins pour amener votre mec au septième ciel». Des boutiques de lingerie féminine qui vantent aux 8-12 ans les mérites du G-string. Les idoles féminines de la chanson qui s'embrassent à pleine bouche lors des soirées de gala. La populaire émission Loft Story, diffusée bien avant le dodo des plus petits, qui renvoie l'image d'une concurrente confiant son appétit du jour : «J'ai envie de manger une grosse queue.» Société à saveur pornographique, jeunes consommateurs avides de sensations fortes, adultes eux-mêmes vaccinés et parfois hésitants à dénoncer l'inacceptable : un mélange explosif qui donne naissance à des situations inquiétantes devenues le pain quotidien de plusieurs jeunes. «Il faut faire ce qu'on peut, comme adultes, pour prendre nos responsabilités et protéger nos petits», explique Diane Pacom. «Ce sont des antidotes qu'il faut donner à nos jeunes, un esprit critique plutôt que de leur renvoyer une image coupable, des outils pour les délivrer de ce dérapage pornographique qui est le problème de la société adulte, pas le leur.» L'ampleur de la situation, nourrie par des rencontres, des courriels, des appels téléphoniques, a créé chez la sexologue Jocelyne Robert le besoin de déverser ce trop-plein dans son livre, qu'elle associe tant à un «cri du coeur» qu'à un «cri d'alarme». «Si j'avais à résumer en une phrase ce qui me frappe le plus dans tout ça, c'est le désarroi sexuel, la perte de sens et de signification liés au sexuel», explique-t-elle en entrevue. «Quand on me réplique que ce n'est pas pire aujourd'hui qu'avant, je dis : mon oeil !, ajoute-t-elle. Je pense qu'on vit une période qui est sans précédent, une période qui n'est portée par aucune valeur. Avant, on était en amour et on avait des pensées cochonnes. Maintenant, les jeunes baignent de façon extrême dans le sexe, le génital, et ils ont des fantasmes amoureux ! C'est le monde à l'envers !» C'est dans ce contexte inquiétant que le ministère de l'Éducation a choisi de donner le coup d'envoi à une autre forme d'éducation à la sexualité qui ne «relève plus maintenant d'une seule matière ou d'un seul intervenant mais qui devient la responsabilité d'un ensemble de partenaires», selon les voeux du MEQ. Exit le programme «Formation personnelle et sociale» (FPS), où un certain nombre d'heures étaient allouées à cette portion de l'éducation à la sexualité. «Plus que jamais, nos jeunes ont besoin d'entendre parler d'éducation à la sexualité», explique Geneviève Lalonde, l'une des rares sexologues au Québec à travailler directement dans une école secondaire. «C'est plus des farces ! On pense à faire des animations sur la pornographie au primaire alors qu'il n'y a pas si longtemps, c'est de menstruations et de poils qu'on leur parlait !» Embauchée par le CLSC du coin, Mme Lalonde passe désormais toute sa semaine à la polyvalente Montignac, située à Lac-Mégantic, et organise des formations spéciales destinées aux jeunes tout en les rencontrant individuellement. Elle confirme cette modification du paysage sexuel des jeunes et s'alarme de devoir désormais intervenir pour désamorcer des crises... au primaire. De nouveaux problèmes «On se retrouve maintenant avec des problèmes que nous n'avions pas il y a à peine trois ans», explique-t-elle, relatant qu'une enseignante d'une école primaire lui confiait récemment que la moitié des filles de sa classe de sixième année avaient déjà eu des relations sexuelles. «Les jeunes ont besoin de savoir si ce qui se passe chez eux est normal, et c'est un peu comme s'ils étaient toujours en manque de sensations fortes.» Quel sort attend ces jeunes qui consomment crûment la sexualité ? Jocelyne Robert croise de jeunes adultes désabusés et des ados dysfonctionnels, mais d'autres stoppent la machine, «écoeurés par cette surdose qui n'a pas été satisfaisante». «Je viens d'entendre parler de ce jeune garçon de 16 ans qui affirme être tellement dégoûté par cette abondance de sexe qu'il a décidé d'être seul et de s'adonner à la lecture», relate Francine Duquet, qui y décèle à la fois un signe encourageant et un symptôme désolant. «Il y a encore des jeunes romantiques qui sont critiques face à cette surenchère sexuelle. Mais il est triste de constater que ces mêmes jeunes sont déstabilisés et déçus... » Retour dans l'auditorium de cette école secondaire. Le flot d'anecdotes livrées par l'animatrice a laissé certains parents sous le choc; d'autres sont décidés à prendre le taureau par les cornes et à causer sexualité le lendemain au petit-déjeuner. «Vos jeunes veulent vous entendre parler de sexualité et d'amour, explique Mme Duquet. Sous des allures blasées, ils veulent savoir ce que vous en pensez. Si, comme parents, vous ne réagissez pas, si votre silence est le seul signal qu'ils ont, vous leur indiquez que tout cela est finalement très acceptable.» Quote: Sexe à risque Des pratiques sexuelles flyées qui rendent les jeunes vulnérables aux grossesses et aux ITS Louise-Maude Rioux Soucy Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005 Mots clés : Québec (province), Jeunesse, pratiques sexuelles, sexe Les campagnes de sensibilisation en faveur du sexe protégé n'ont jamais été aussi intenses au Québec et pourtant, les principales infections transmissibles sexuellement (ITS) ne cessent de gagner du terrain. Le constat d'échec est d'autant plus frustrant pour les autorités de la santé publique que ce sont les jeunes, leur première cible, qui sont les principales victimes de cette flambée. Et signe que les pratiques ont bel et bien changé, on retrouve des ITS dans des endroits aussi flyés que la bouche, l'a**s ou même... l'oeil. En 15 ans de pratique, la directrice de la clinique des adolescents de l'Hôpital de Montréal pour enfants en a vu de toutes les couleurs. Mais, depuis un an, la Dre Franziska Baltzer a du mal à reconnaître sa clientèle habituelle. «On voit plus de chlamydias et de gonorrhées qu'auparavant et, surtout, à des endrLe Devoir, 16-17 avril 2005oits où on n'en avait jamais vu, raconte-t-elle. Par exemple, on remarque des condylomes dans la bouche; j'ai même vu un chlamydia dans un oeil. Ça, c'est le signe le plus sûr que les pratiques ont changé depuis un an.» À l'unité de gynécologie du CHU Sainte-Justine, qui reçoit les 12 à 18 ans, une recrudescence sensible de la chlamydia a aussi été notée, suivie de près par une augmentation du nombre de condylomes. Fait surprenant, la gonorrhée et la syphilis, que l'on croyait pourtant disparues, ont également fait une timide réapparition, note l'infirmière Doris Ouellet. «La gonorrhée est plus rare, mais on en a vu quelques cas cette année. Ici, c'était quelque chose de nouveau. On en rencontrait de moins en moins, pour ne pas dire presque plus, un peu comme la syphilis, qui est elle aussi de retour.» À l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), ce changement est une réelle source d'inquiétude. «Le sexe à risque, c'est comme la loto : plus tu prends de billets, plus tu as de chances de gagner», résume le Dr Marc Steben, médecin-conseil à l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Et comme ils sont de plus en plus nombreux à pratiquer l'échangisme et l'amour à plusieurs -- que celui-ci soit oral, vaginal ou a**l --, les jeunes d'aujourd'hui sont, selon lui, les plus vulnérables devant cette recrudescence d'ITS. Les statistiques lui donnent raison. Dans un récent document de synthèse daté de décembre 2004, le ministère de la Santé et des Services sociaux indique que «les données sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) montrent une augmentation de plusieurs d'entre elles, particulièrement chez les jeunes». C'est la chlamydia, une maladie souvent asymptomatique qui peut conduire à l'infertilité si elle est mal soignée, qui accapare la part du lion, près de 70 % des cas déclarés au Québec l'étant chez des jeunes âgés de 15 à 24 ans. Des chiffres qui en cachent d'autres Cette recrudescence, la Direction de la santé publique de Montréal la suit pas à pas depuis 1996. «Les ITS touchent majoritairement les jeunes. Pour les femmes, le pic est chez les 15 à 19 ans alors qu'il l'est chez les 20 à 24 ans pour les hommes», explique le Dr John Carsley. À Montréal seulement, du 5 décembre 2004 au 1er janvier 2005, 25 chlamydioses et quatre hépatites B ont été diagnostiquées chez les 10 à 14 ans alors que 754 chlamydioses, 36 hépatites B et 40 gonorrhées l'ont été chez les 15 à 19 ans. Et la tendance est loin de s'essouffler : du 2 janvier au 29 janvier 2005, une chlamydiose et une hépatite B ont été constatées chez les 10 à 14 ans tandis que 57 chlamydioses, deux hépatites B et sept gonorrhées étaient diagnostiquées chez les 15 à 19 ans. Tous ces chiffres sont toutefois loin d'être le reflet de la réalité puisque seules les ITS qui ont fait l'objet d'un test de dépistage sont comptabilisées. Grâce à son programme de gratuité pour le traitement des ITS en fonction depuis 1992, le MSSS remarque ainsi que le nombre de personnes qui bénéficient de ce programme est généralement deux fois plus élevé que le nombre d'ITS déclarées. L'explication est simple, c'est généralement à l'occasion de l'examen gynécologique annuel des filles que la nouvelle tombe, évitant à leur(s) partenaire(s) d'avoir à se soumettre à leur tour à un dépistage. Cela dit, retracer ces partenaires reste souvent un casse-tête et les autorités publiques sont forcées d'admettre que plusieurs cas leur échappent encore. «La notification des partenaires est très difficile à faire, confirme Doris Ouellet. Les filles ne veulent pas le dire et on doit souvent passer par le système anonyme de la santé publique pour les retracer. Évidemment, on donne le plus de prescriptions que l'on peut afin de rejoindre tous les partenaires, mais on est sûrs de rien.» Constat d'échec Les intervenants se buttent également à une méconnaissance qui fait en sorte que les ITS fleurissent là où on les attendait le moins, par des voies de contournement aussi inventives que potentiellement dangereuses. C'est ainsi que des chercheurs des universités de Yale et de Columbia ont découvert avec stupeur que les ITS touchaient aussi durement ceux qui ont fait un pacte de virginité (6,4 %) que les autres adolescents (6,9 %). Non seulement ces pratiques échouent à garder les jeunes à l'abri, mais elles ferment la porte au condom et à la pilule, deux alliés dont la santé publique ne peut pourtant pas se passer. «Ce qui m'a le plus marquée à mon arrivée à la clinique, c'est de voir qu'il y a encore beaucoup de parents qui refusent la contraception à leurs enfants, raconte Doris Ouellet. Les jeunes sont pris là-dedans; ils suivent la ligne parentale, mais cela les rend encore plus vulnérables aux grossesses et aux ITS.» Quant au VIH, il semble que la population adolescente soit encore à l'abri, remarque avec un certain soulagement la Dre Franziska Baltzer. «Ce n'est pas parce que les jeunes se protègent qu'on n'en voit pas, c'est parce que le VIH n'est pas arrivé dans cette population. Mais ce n'est qu'une question de temps avant qu'il y arrive», ajoute-t-elle, prudente. Selon le Dr Marc Steben, c'est même déjà fait. «C'est sûr que les jeunes ne semblent pas être victimes du VIH. Pourtant, il y en a, mais il faut savoir qu'ils ne sont généralement repérés que plus tard, quand ils ont des symptômes», explique le médecin-conseil, qui suit de près l'évolution des ITS dans la population. À la lumière de tous ces chiffres, il est clair que les autorités de la santé publique ont échoué. «On a investi beaucoup, on a de gros programmes, on a fait de la recherche. Tout est mis en oeuvre pour que les ITS diminuent, alors qu'elles n'arrêtent pas d'augmenter», déplore le Dr Steben. Son collègue à la Direction de la santé publique de Montréal abonde en ce sens. «Il faut encore plus de ressources, mais il faut surtout adapter nos messages de prévention aux jeunes d'aujourd'hui à la lumière des changements de pratique», explique le Dr John Carsley. Leur but commun : promouvoir la sexualité autrement, à l'opposé des courants culpabilisants qui sont légion aujourd'hui dans la province. Il faut en effet convenir que nos campagnes sont loin d'avoir glorifié le plaisir du sexe protégé. «On aurait beaucoup à apprendre des Scandinaves ou des Belges, qui ont su montrer qu'une sexualité protégée peut être agréable», note à cet égard le Dr Steben. Mais la pente sera dure à remonter, chaque geste n'étant qu'une petite goutte d'eau dans un océan de publicités prônant une sexualité débridée. «Changer les comportements sexuels est très difficile. D'autant plus que ce que la société véhicule avec Internet, les médias, les journaux, c'est toujours une sexualité sans risque. Personne n'attrape de ITS sauf peut-être dans Degrassi», constate le Dr Carsley. Article très vulgaire, vous êtes avertis.Quote: Petit lexique cochon pour parents avertis Marie-Andrée Chouinard Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005 Mots clés : Québec (province), pratiques sexuelles, lexique Amateurs de sensations fortes et internautes branchés sur des images à saveur pornographique, les jeunes s'adonnent à des pratiques sexuelles qui ont de quoi étonner. Sous la pression de leurs copains, certains ados se lancent dans un blitz sexuel comme s'il s'agissait d'un passage obligé teinté de la plus banale des normalités. Petit lexique cochon pour parents avertis. FELLATION - Elle a la cote actuellement, et bien des jeunes filles s'y adonnent, préservant du coup leur virginité pour le prince charmant, auquel elles rêvent toujours malgré des vendredis soirs olé olé. Les spécialistes s'inquiètent de voir des fillettes du primaire marchander une «pipe» contre des cadeaux, de la plus banale cigarette à un joli vêtement. SOFA PARTY - Variation sur le thème de la fellation : dans un sous-sol laissé aux jeunes par des parents inconscients ou trop confiants, une rangée de garçons s'installent confortablement sur le sofa usé. Les filles défilent les unes après les autres et besognent en changeant de partenaire, jusqu'à épuisement... CHASSE-NEIGE - Se pratique invariablement, été comme hiver, malgré ce que son nom suggère. Après avoir éjaculé dans la bouche de sa partenaire, le jeune homme reçoit en plein visage le sperme recraché par mademoiselle. Peu répandu comme pratique mais, dans certaines écoles, c'est la mode du ******** FRIEND - Ce n'est pas l'amoureux, ni l'amant, encore moins le meilleur ami. Une traduction littérale maison nous dirigerait vers «le copain de baise», celui à qui on peut expédier un courriel pour demander tout bonnement : «Cher Sébastien, et si on était ******** friends ?» N'engage à rien -- officiellement -- mais, officieusement, on constate que les filles en bavent secrètement pour le ******** friend et se meurent d'amour pour lui. DANSE SANDWICH - Populaire dans les écoles secondaires mais aussi primaires, à l'occasion des danses orchestrées par l'école. Au son langoureux d'un slow, une fille se voit entourée de deux garçons, l'un à l'arrière, l'autre à l'avant, pour former ledit sandwich. Celui d'en arrière a le loisir de fureter vers la partie inférieure du corps, tandis que son voisin d'en avant s'adonne à l'examen du haut. La danse sandwich se pratique aussi avec un garçon au centre et deux filles l'étreignant. Se fait au vu et au su d'adultes surveillants. SEX BRACELETS - Les avis diffèrent sur ces mignons petits bracelets de plastique colorés, en apparence bien inoffensifs. S'ils sont sans doute anodins pour nombre d'ados qui les exhibent, ils traduisent en revanche pour certains un code sexuel défini à l'aide des différentes couleurs dudit bracelet, que l'on porte à l'unité ou en rangées. Le noir annonce la disponibilité du porteur pour une relation sexuelle, mais le bleu indique une préférence pour la fellation, le vert pour le cunnilingus, le orange pour un chaste baiser (tout de même !), le jaune pour un gros câlin et le mauve pour la sodomie. VIAGRA - Oubliez les hommes grisonnants gambadant sur le parterre de leur maison de banlieue, fredonnant énergiquement le «I did it my way» de Frank Sinatra après une folle nuit d'amour sans incident... Le Viagra ne fait pas sourire que les hommes à la libido chancelante. Les jeunes fouinent dans la pharmacie de papa -- ou de papi ! -- et avalent les petites pilules bleues pour faire durer le plaisir des heures et des heures, en plus d'exacerber leurs sensations. GAGGING - Pratique extrême, il ne s'agit pas de la dernière tendance chez nos jeunes adolescents québécois, mais certainement de ce qui est in côté consommation d'images cybernétiques, affirment les spécialistes. Du terme anglophone «to gag», c'est-à-dire avoir des hauts-le-coeur, le «gagging» consiste en une pénétration violente du pénis dans la bouche de la femme, jusqu'à ce que celle-ci vomisse. Les sites Internet diffusent des images troublantes de femmes malades, les larmes faisant dégouliner leur maquillage. a** TO MOUTH - Tout droit venu d'Internet et de la profusion pornographique qu'elle diffuse, le «a** to mouth», comme son nom l'annonce, consiste en une pénétration anale suivie, immédiatement avant l'éjaculation, d'une fellation. Sans qu'on puisse statuer sur la popularité de cette pratique chez les jeunes, celle-ci demeure, elle aussi, une manière de faire que les jeunes visualisent avec une facilité déconcertante sur l'écran de l'ordinateur.
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Posted: Sun Nov 12, 2006 5:49 pm
C'est pas parce qu'ils font toutes sortes de cochonneries qu'ils savent ce qu'ils font et qu'ils ne se posent pas de questions wink
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Posted: Sun Nov 12, 2006 6:23 pm
Euh, les trois articles, je ne crois pas que ce sois pour prouver la connaissance des jeunes en matière de sexualitée...mais pour montrer, qu'au contraire, ils en voient aucune valeur. Ils pratique la sexualitée sans but précis, juste pour le but de sensation fortes. C'est franchement désolant, justement pourquoi on devrait avoir un minimum d'éducation sexuelle. Savoir quel mot est associé à quel geste...c'est ben cute tout ça...mais...les conséquences...les valeurs morales et la dignité. Come on! Sucer pour une clope, y'a toujours bien des limites!
Justement, la preuve de l'ignorance PORNOGRAPHIE
Oui, ça peut être excitant, mais aucunement réaliste. Puis...les cris, franchement, je ne sais pas pour vous, mais moi j'plaint la pauvre madame du film...elle a l'air de vivre le martyr! Du moins...je ne crirais pas de la sorte si j'appréciais ce que je subis. S'ils prennent en exemple la pornographie et espèrent les mêmes résultats...bien moi j'peux toujours aller monter une voiture, aller à une vitesse précise et espérer remonter dans le temps, tout aussi plausible!
Oh, le chasse neige...l'idée m'fait marrer.
...Dire que c'est ma génération ça...snif. J't'un gros pas cool alors .___.!
Lyserg...en a manqué un bout...
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Posted: Sun Nov 12, 2006 6:51 pm
J'donnerai pas mon opinion car tous est déja pas mal dit mais selon moi je trouve sa stupide...
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Posted: Mon Nov 13, 2006 2:15 am
C'est pas un chasse-neige, ça s'appelle un snow ball et tu le recrache dans la bouche de ton partenerre. Pis y'a ben pire que ça, croyez moi. Mais bon hors sujet...... Je vais dire comme Miss. Moi je suis sur que c'est des groupes religieux qui ont fait pression pour que ce soit appliqué.
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Dangerous Conversationalist
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Posted: Mon Nov 13, 2006 5:05 am
À date, tout ce qui concerne la réforme en générale, je trouve ca plutot merdique. . .
Je sais pas à quoi les plus " haut placés" pensent, mais c'est attroce de scrapper ainsi une génération ! C'est quoi ça de ne pas attribuer de note en pourcentage mais de donner des ... Appréciations : " à beaucoup de facilité" , " a un peu moin de facilité " ... ect.
Ca marche pas un système comme ca ! Ca va faire des enfants roi qui ne conaissent rien sauf leur ÉMOtion. Des Individuallistes idiots.
Et enlevé Le cours de Sexo = QUELLE IDÉE STUPIDE ! COME ON ! Même si on a tendance à croire , que les jeunes savent tout déja, je trouve ca important quand même de faire de la prévation à L'école ( sois le plus gros incubateur d'hormone en furie ! ) Faire la prévention et continuer avertir les jeunes.
Pis Bientot, on va enlever les cours d'art ! HEY ! GO FOR IT ! plus de cours d'ÉDUC !
Hey ! prochaine génération soufferas pas d'embonpoint mais vas être débile , malheureuse et sans connaissance ou créativité ... AVEC UNE MTS !
BLEH ! stare
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Posted: Mon Nov 13, 2006 6:59 am
White Linen C'est pas un chasse-neige, ça s'appelle un snow ball et tu le recrache dans la bouche de ton partenerre. Pis y'a ben pire que ça, croyez moi. Mais bon hors sujet...... Je vais dire comme Miss. Moi je suis sur que c'est des groupes religieux qui ont fait pression pour que ce soit appliqué. Yexiste aussi le chasse-neige, pis c'est tel que decrit. Et j'ose meme pas m'attaquer a ta derniere phrase pleine de prejuges, tu me decourage trop.
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Posted: Mon Nov 13, 2006 7:02 am
Odalha À date, tout ce qui concerne la réforme en générale, je trouve ca plutot merdique. . .
Je sais pas à quoi les plus " haut placés" pensent, mais c'est attroce de scrapper ainsi une génération ! C'est quoi ça de ne pas attribuer de note en pourcentage mais de donner des ... Appréciations : " à beaucoup de facilité" , " a un peu moin de facilité " ... ect.
Ca marche pas un système comme ca ! Ca va faire des enfants roi qui ne conaissent rien sauf leur ÉMOtion. Des Individuallistes idiots.
Et enlevé Le cours de Sexo = QUELLE IDÉE STUPIDE ! COME ON ! Même si on a tendance à croire , que les jeunes savent tout déja, je trouve ca important quand même de faire de la prévation à L'école ( sois le plus gros incubateur d'hormone en furie ! ) Faire la prévention et continuer avertir les jeunes.
Pis Bientot, on va enlever les cours d'art ! HEY ! GO FOR IT ! plus de cours d'ÉDUC !
Hey ! prochaine génération soufferas pas d'embonpoint mais vas être débile , malheureuse et sans connaissance ou créativité ... AVEC UNE MTS !
BLEH ! stare Hein ! Ils parlent tu vraiment d'enlever les cours d'art ? Voyons donc... C'est carrement revoltant ! Entk moi « j'epprouve beaucoup de difficultes » a accepter leurs nouvelles reformes sans reagir exclaim
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