Welcome to Gaia! ::

Je ne connais pas le film, mais je vais essayer. n_n



Bon, c'est un début. (Quelqu'un peut continuer?) Ce qui est en gras est à remplacer ou est à ajouter, et ce qui est souligné est a modifier. J'espère que je t'es aidé, même si je n'ai pas tout corrigé. n_n

J'ai essayé de corriger sans trop changer ton texte. Il y a encore quelques maladresses et des points qui mériteraient d'être plus développés mais ça c'est ton travail ^_^ et c'est aussi mon humble avis de prof ! En tout cas bon courage pour la suite


‘Le Monde est à vous’ ; est-ce que cette déclaration est vraie pour les trois jeunes dans ‘La Haine’ ?

Quand les jeunes se baladent en ville ils voient un symbole qui dit ‘le monde est à vous’. D’après moi le réalisateur, Mathieu Kassovitz a inclus cette déclaration car elle est plutôt ironique. Les jeunes vivent dans les banlieues, dans un quartier sans âme et sans espoir. Donc cette déclaration ne signifie rien pour eux. J’aimerais expliquer pourquoi le monde n’est pas ‘à vous’ pour ces jeunes.


Souvent la société d’abondance dit que les marginaux sont paresseux et qu'ils ne veulent pas s’évader de leur situation. Mais pour ma part ce n’est pas juste. Les trois garçons dans ‘La Haine’ voudraient s’évader mais ils ne peuvent pas.

Premièrement il y a Hubert qui est un boxeur doué et qui a des rêves pour l’avenir. Il travaille avec ardeur pour établir une salle de sport prospère et pour soutenir pour sa famille (son frère Max est en prison). Mais il ne peut pas car les jeunes révoltés ont réduit sa salle en cendres. Hubert veut se battre et a la clairvoyance de dire ‘Je n’ai jamais vu les problèmes se résoudre par la vengeance. La haine attire la haine’. Je dirais que si Hubert avait eu la chance d’être né dans une société d’abondance il aurait beaucoup d’opportunités. Clairement il veut quitter sa situation car il nous dit ‘J’en ai marre de la cité. Je vais partir.’ Cependant à la fin est-ce que ses bagarres l’aident ? Non, pas du tout nous entendons une fusillade et nous pouvons imaginer qu’il est mort, tué d’une manière arbitraire. Aussi même s’il n’est pas mort et que le policier / que la policière est mort(e) nous pouvons voir que sa vie est finie. Alors il ne peut pas s’évader du cercle vicieux.

Au début nous voyons l’arabe, Saïd, les yeux fermés. À la fin, il a encore les yeux fermés, pourquoi ? Je crois qu’il essaye de s’évader de sa situation en fermant ses yeux. Devant ses yeux fermés son copain, Vinz a été tué. Il ne peut pas vraiment échapper à la situation et ainsi il doit fermer ses yeux pour pour être ailleurs pendant un moment. Mais comme Hubert il ne peut pas à cause de la société française qui est raciste instinctivement.

Et pour le juif, Vinz ? Je pense qu’il imagine les vaches dans la cité car, comme ses amis, il voudrait quitter les banlieues. Une vache symbolise la campagne qui est très loin de sa situation. Aussi est-ce qu’il faut utiliser la haine pour s’évader ? Le philosophe, Mauriac, a dit ‘comme on dit ‘faire l’amour’ il faudrait pouvoir dire ‘faire la haine’ ça repose, ça détend’. Vinz est souvent en colère et il est très capricieux ; peut-être que c’est un moyen de s’évader. Mais personnellement je ne suis pas d’accord avec Mauriac, je suis d’accord avec Hubert ; ‘La haine attire la haine’.

C’est important d’examiner la situation politique pendant l’époque de ‘La haine’. L’aile droite du parlement, le ‘Rassemblement pour la République’, a essayé d’introduire des réformes sociales impopulaires. On trouvait les rapports mauvais entre les cités et le système. Le ministre de l’intérieur, Charles Pasqua, était tout à fait contre les banlieues et il a fait confiance à la police même s’ils font des actes mauvais comme le meurtre de Makomé M’Bowle. C’était cette situation qui a créée l’ambiance pour que Kassovitz écrive ‘La Haine’.

La deuxième fois que nous voyons le symbole important Saïd le change afin qu’il dise ‘le monde est à nous’. Je dirais que cette déclaration est plutôt prophétique, il y a des relations avec la phrase ‘ce n’est pas la chute c’est l’atterrissage’. C'est-à-dire que les quartiers défavorisés sont des poudrières car tout le monde est contre eux. Je ne pense pas que Saïd pense ces choses quand il change le signe. Cependant je suis sûr que avec ça Kassovitz nous donne un avertissement caché pour l’avenir.

Maintenant nous pouvons voir que Kassovitz avait raison. En deux mille cinq on voit les émeutes entre les jeunes et la police. Encore une fois les politiciens n’aident pas. Le ministre de l’intérieur (et maintenant le président) Sarkozy a dit ‘nous allons nettoyer au karcher la cité des quatre milles’. Donc tout le monde traite ces jeunes comme s’ils étaient ‘éc**é’ et par conséquent ils se sentent frappés d’ostracisme.

Samir dit aux jeunes que les flics sont ‘là pour vous protéger’. Mais Hubert répond, ‘Mais qui nous protège de vous ?’. La brutalité policière est un thème brûlant de ‘La Haine’. Abdel représente des jeunes innocents qui sont tués par la police (comme Makomé M’ Bowle). Nous voyons Hubert et Saïd souffrir sous la torture par deux policiers. Nous sommes d’accord avec le jeune policier (la jeune policière) qui est choqué(e) par la brutalité. Aussi la mort de Vinz (et peut-être celle d’Hubert) souligne le problème qui, selon Kassovitz, touche la France. Nous pouvons imaginer qu’il n’y aurait pas d’égalité dans le système judiciaire français pour des jeunes comme Vinz car personne ne les aide.

La haine contre la police est la seule chose avec laquelle la communauté peut être d’accord et donc clairement dans la cité on ne trouvait pas un esprit communautaire fort. Ainsi Élizabeth Vallet, chercheuse à l’université a demandé ‘Que peut espérer un jeune qui naît dans un quartier sans âme, qui vit dans un immeuble laid… avec tout autour une société qui préfère détourner le regard et n’intervient que lorsqu’il faut interdire ?’ Les trois jeunes sont un microcosme de ce malaise. Ils ne peuvent pas avoir confiance en les autres. Hubert a dit ‘Je suis sûr que Vinz faisait partie des mecs qui ont brûlé la salle’. Clairement l’ambiance déprimante dans ce quartier qui est constitué de barres de béton sans espaces verts entraîne une vie associative inexistante pour les trois jeunes.

L’enseignement ne joue pas un rôle parmi les jeunes de la cité. La sœur de Saïd, Latifa ne va pas au collège. Ce n’est pas possible pour la sœur de Vinz, Sarah, parce que son collège a brûlé pendant les émeutes. On peut imaginer que les trois jeunes avaient les mêmes problèmes quand ils allaient au collège. Grâce à ce manque d’éducation les jeunes ne trouvent pas de travail et ils s’ennuient.

L’ennui est un grand facteur dans la vie des trois jeunes. Ils manquent de loisirs car dans la cité on ne trouve pas de centres sportifs et ainsi de suite. Ils fument du cannabis et font des actes anti-sociaux toute la journée car ils n’ont pas autre chose de mieux à faire. Ils aiment la musique rap avec des paroles qui sont négatives et contre le système ; ce message sombre est leur évangile. Donc grâce à cet ennui les jeunes sentent qu’ils ne sont rien.

Cependant quand les jeunes fument du cannabis ils sont lucides et ils peuvent réaliser leur situation. Vinz dit ‘Je me sens comme une fourni perdue dans l’univers’. Personne n’aide les jeunes, ils ne sont rien. Dans la cité la seule personne qui aide les jeunes est un pauvre homme ivre. Avec ça Kassovitz essaye de dire que c’est impossible pour les jeunes marginaux de s’intégrer.
Les banlieues sont environ à quarante kilomètres de la ville, donc pour Paris ils sont des étrangers. Personne ne les accepte dans la galerie d’art. La fille qui représente la société d’abondance dit à Saïd ‘on ne peut pas vous respecter’, et le mec aussi fait une remarque stéréotypée quand il dit ‘les banlieues’. On peut voire que c’est impossible pour les jeunes d’entrer dans cette société.

Je dirais que la fin de ‘La Haine’ est très puissante et Kassovitz nous dit encore que la vie n’est pas juste pour les trois jeunes (qui sont représentatifs de tous les jeunes dans les banlieues). À la fin les jeunes ne font pas de progrès car ils ne le peuvent pas. Dans les toilettes le monsieur parle aux garçons au sujet de dieu. Il leur dit ‘il ne faut pas demander si on croit en dieu mais si dieu croit en nous ‘. Kassovitz examine le sujet du dieu malveillant. Est-ce que le dieu peut aider les jeunes ? Selon Kassovitz, non, personne ne veut aider les jeunes le symbole n’est pas pour eux.

alors j'essaye changer ma redaction

voila

‘Le Monde est à vous’ ; est-ce que cette déclaration est vraie pour les trois jeunes dans ‘La Haine’ ?

Quand les jeunes se baladent en vile ils voient un symbole qui dit ‘le monde est à vous’. D’après moi Le réalisateur, Mathieu Kassovitz a inclus cette déclaration car c’est plutôt ironique. Les jeunes vivent dans les banlieues, dans un quartier sans âme et sans espoir. Donc cette déclaration ne signifie rien pour eux. J’aimerais expliquer pourquoi le monde n’est pas ‘à vous’ pour les jeunes.


Souvent la société d’abondance dit que les marginaux sont paresseux et ils ne veulent pas s’évader de leur situation. Mais pour ma part ce n’est pas juste. Tous les trois garçons dans ‘La Haine’ voudraient s’évader mais ils ne peuvent pas.

Premièrement il y a Hubert, il est un boxeur doué et il a des rêves pour l’avenir. Il travaille avec ardeur pour établir une salle de sport prospère et pour soutenir pour sa famille (son frère Max est en prison). Mais il ne peut pas car les jeunes révoltés ont réduit sa salle en cendres. Hubert a les bagarres et la prévoyance dire ‘J’ai jamais vu les problèmes se résoudre par la vengeance. La haine attire la haine’. Je dirais que si Hubert avait eu la chance d’être né dans la société d’abondance il aurait beaucoup d’opportunités. Clairement il veut quitter sa situation car il nous dit ‘J’en ai marre de la cité. Je vais partir.’ Cependant á la fin est-ce que ses bagarres l’aide ? Non, pas du tout. Nous entendons une fusillade et nous pouvons imaginer qu’il est mort, tué dans une manière arbitraire. Aussi même s’il n’est pas mort et que le policier est mort nous pouvons voire que sa vie est finie. Alors il ne peut pas s’évader du circule vicieux.

Au début nous voyons l‘Arabe, Saïd, les yeux fermés. À la fin, encore les yeux fermés, pourquoi ? Je crois qu’il essaye de s’évader de sa situation en fermant ses yeux. Devant ses yeux fermé son copain, Vinz a été tué. Il ne peut pas échapper à la situation vraiment et ainsi il doit fermer ses yeux pour un moment pour être ailleurs pendant un moment. Mais comme Hubert il ne peut pas à cause de la société française qui est raciste instinctivement.

Et selon le juif, Vinz ? Je pense qu’il imagine les vaches dans la cité car, comme ses amis, il voudrait quitter les banlieues. Une vache symbolise la campagne qui est très loin de sa situation. Aussi est-ce qu’il faut utiliser la haine pour s’évader ? Le philosophe, Mauriac, a dit ‘come on dit ‘faire l’amour’ il faudrait pouvoir dire ‘faire la haine’ ça repose, ça détend’. Vinz est en colère souvent et il est très capricieux ; peut être c’est une moyenne de s’évader. Mais personnellement je ne suis pas d’accord avec Mauriac, je suis d’accord avec Hubert ; ‘La haine attire la haine’.

C’est important d’examiner la situation politique pendant l’époque de ‘La Haine’. L’aile droite du parlement, le ‘Rassemblement pour la République’ a essayé d’introduire des réformes sociales impopulaires. On trouvait les rapports mauvais entre les cités et le system. Le ministre de l’intérieur, Charles Pasqua, était tout a fait contre les banlieues et il a fait confiance à la police même s’ils font les actes mauvais comme le meurtre de Makomé M’Bowle. C’était cette situation qui a créée l’ambiance pour que Kassovitz écrive ‘La Haine’.

La deuxième fois que nous voyons le symbole importante, Saïd le change afin qu’il dise ‘le monde est a nous’. Je dirais que cette déclaration est plutôt prophétique, il y a des relations avec le phrase ‘ce n’est pas la chute c’est l’atterrissage’. C'est-à-dire que les quartiers défavorises sont les poudrières car tout le monde est contre eux. Je ne pense pas que Saïd pense ces choses quand il change le signe. Cependant je suis sûr qu’avec ça Kassovitz nous donne un avertissement caché pour l’avenir.

Maintenant nous pouvons voire que Kassovitz avait raison. En deux mille cinq on voit les émeutes contre les jeunes et police. Encore une fois les politiciens n’aident pas. Le ministre de l’intérieur (et maintenant la président) Sarkozy a dit ‘nous allons nettoyer au karcher la cité des quatre milles’. Donc tout le monde traitent ces jeunes comme ils sont ‘éc**é’ et par conséquent ils sentent frapper d’ostracisme.

Samir dit aux jeunes que les flics sont ‘là vous protéger’. Mais Hubert réponde, ‘Mais qui nous protège de vous ?’. La brutalité policière est un thème brûlant de ‘La Haine’. Abdel représente des jeunes innocents qui sont tué par la police (comme Makomé M’ Bowle). Nous voyons Hubert et Saïd souffrir sous la torture par deux polices. Nous sommes d’accord avec le jeune policier qui est choqué par la brutalité. Aussi la mort de Vinz (et peut-être celle d’Hubert) souligne le problème qui, selon Kassovitz, touche la France. Nous pouvons imaginer qu’il n’aurait pas d’égalité dans le système judicaire français pour des jeunes comme Vinz car personne ne les aide.

La haine contre la police est la seul chose avec laquelle la communauté peut être d’accord et donc clairement dans la cité on ne trouvait pas une spirite communautaire forte. Ainsi Élizabeth Vallet, chercheuse à l’université a demandé ‘Que peut espérer un jeune qui naît dans un quartier sans âme, qui vit dans un immeuble laid… avec tout autour une société qui préfère détourner le regard et n’intervient que lorsqu’il faut interdire ?’ Les trois jeunes sont un microcosme de ce malaise. Ils ne peuvent pas faire confiance en les autres. Hubert a dit ‘Je suis sur que Vinz faisait partie des mecs qui ont brulé la salle’. Clairement l’ambiance déprimant dans le quartier qui est constitué de barres en béton sans espaces vertes entraîne une vie associative inexistante pour les trois jeunes.

L’enseignement ne joue pas un rôle parmi les jeunes dans la cité. La sœur de Saïd, Latifa ne vas pas au collège. Ce n’est pas possible pour la sœur de Vinz, Sarah, parce que sa collège a brule pendant les émeutes. On peut imaginer que c’était les trois jeunes avaient les mêmes problèmes quand ils allaient au collège. Grace à ce manque d’éducation les jeunes ne trouvent pas de travail et ils s’ennuient

L’ennui est un grand facteur dans la vie des trois jeunes. Ils manquent des loisirs car dans la cité on ne trouve pas les centres sportifs ainsi de suite. Ils fument du cannabis et font les actes antisociaux toute la journée car ils n’ont pas autre chose de mieux à faire. Ils aiment la musique rap avec les paroles qui sont négatifs et contre le system ; ce message sombre est leur évangile. Donc grâce à cet ennui les jeunes sentent qu’ils ne sont rein.

Cependant quand les jeunes fument du cannabis ils sont lucides et ils peuvent réaliser leur situation. Vinz dit ‘Je me sens comme un fourni perdue dans l’univers’. Personne n’aide les jeunes, ils ne sont rien. Dans la cité la seule personne qui aide les jeunes est un pauvre homme ivre. Avec ça Kassovitz essaye de dire que c’est impossible pour les jeunes marginaux de s’intégrer.

Les banlieues sont environ à quarante kilomètres de la ville, donc pour Paris ils sont des étrangers. Personne ne les accepte pas dans la galerie d’art. La fille qui représente la société d’abondance dit au Saïd ‘on ne peut pas vous respecter’, et le mec aussi fait une remarque stéréotypée quand il dit ‘les banlieues’. On peut voire que ce serait impossible pour les jeunes d’entrer dans cette société.

Je dirais que la fin de ‘La Haine’ est très puissante et il nous dit encore que la vie n’est pas juste pour les trois jeunes (qui sont représentatifs de tous les jeunes dans les banlieues). À la fin les jeunes ne font pas des progrès car ils ne le peuvent pas. Dans les toilettes le monsieur parle aux garçons au sujet de dieu. Il leur dit ‘il faut demander pas si on croit en dieu mais si dieu croit en nous ‘. Kassovitz examine le sujet du dieu malveillant. Est-ce que le dieu peut aide les jeunes ? Selon Kassovitz, non, personne ne veulent aide les jeunes le symbole n’est pas pour eux.

merci smile

Le Monde est a Vous arrow The World is Your arrow deja vu dans " Scarface "

sans doute une allusion aux trafiquants mais surtout a la Next Gen qui prend Tony Montana et autre baron/parrain de la drogue comme model...
une nouvelle sorte d'idole est nee a cette epoque la, les hommes tenebreux charismatique et brisant les lois x3 domokun mrgreen burning_eyes ninja

adolescants --> hum autant donner le mot bien orthographié ^^,
c'est adolescents ! ( je pense que c'était plus une faute de frappe dommage ^^)

je n'ai pas compris ce qu'était la "société d'abondance" ... je connais " société de consommation", mais ça , je ne vois pas ^^,
comme je ne connais pas le film, au début, j'ai cru que tu parlais de la ville d'Abondance LOL
j'ai pas vu le film, mais je ne pense pas que ca se passe dans ce village paumé dans les alpes ( miam le fromage d'abondance ! )

As-tu bientôt les résultats ? Je te souhaite bonne chance