Chibi Kappa
Voici un des miens. Le premier qui en recopie une ligne je lui fais bouffer son écran d'ordinateur tout entier, avec le clavier et la souris compris...et pas par la bouche.
Il s'appelle "orages" tout simplement parce qu'il a été écrit un soir d'orage...et que les orages sont la chose dont j'ai le plus peur au monde. Pour faire court : ma phobie.
Ah si je me souviens bien, j'ai écrit ça après une dispute avec un ami auquel j'avais avoué mon homosexualité et qui me traite désormais comme une pestiférée. Ce poème est en même temps dédié à ma chérie. Walà, il a une longue histoire ce bout de texte mais j'aime expliquer d'où vient ce que j'écris.
Toute critique, éloge, demande en mariage ou menace de mort est la bienvenue.
Orages :
Sur le vent qui s’efface
Trouble innocent qui sans un bruit s’élance sur son feu de glace
Lumière pure brisant le ciel en deux
Et scinde les esprits d’un éclat lumineux.
Velours de la douceur de ces instants précieux
Au fil du vent s’éloignent les souvenirs heureux
Je tente parfois d’en rattraper un ou deux
Vainement ma main se brise en ses efforts douloureux.
Eclair d’argent d’un violent tracas
Lumière brûlante, frappante, sanglante
apportant la haine ou ce qu’on ne connaît pas
Aveuglante, terrifiante, de cette poignante violence.
J’ai peur.
Solitude troublante de mon malheur
Et les larmes que je verse dans ma nuit emplie de pleurs
Se versent dans les méandres oubliées de ma douleur.
Je fus un ange.
Portant au dos des ailes étranges
J’étais un ange.
Brisé de sentiments qui dérangent.
Crois-moi…
Je crois que je t’aime.
Crois-moi.
Je crois que je te hais…
Si tu pouvais me craindre…autant que je t’aime…
Avoir peur de moi…me laisser croire que tu es mienne…
Laisse-moi donc dominer ton esprit…
Pour que ce ciel déchiré me ramène à la vie.
Oh non, je n’espère plus…
Quel vienne l’heure cruelle de ma rédemption.
Admire-moi expiant ce que je fus.
Ange adorant cette tendre inanition…
Il s'appelle "orages" tout simplement parce qu'il a été écrit un soir d'orage...et que les orages sont la chose dont j'ai le plus peur au monde. Pour faire court : ma phobie.
Ah si je me souviens bien, j'ai écrit ça après une dispute avec un ami auquel j'avais avoué mon homosexualité et qui me traite désormais comme une pestiférée. Ce poème est en même temps dédié à ma chérie. Walà, il a une longue histoire ce bout de texte mais j'aime expliquer d'où vient ce que j'écris.
Toute critique, éloge, demande en mariage ou menace de mort est la bienvenue.
Orages :
Sur le vent qui s’efface
Trouble innocent qui sans un bruit s’élance sur son feu de glace
Lumière pure brisant le ciel en deux
Et scinde les esprits d’un éclat lumineux.
Velours de la douceur de ces instants précieux
Au fil du vent s’éloignent les souvenirs heureux
Je tente parfois d’en rattraper un ou deux
Vainement ma main se brise en ses efforts douloureux.
Eclair d’argent d’un violent tracas
Lumière brûlante, frappante, sanglante
apportant la haine ou ce qu’on ne connaît pas
Aveuglante, terrifiante, de cette poignante violence.
J’ai peur.
Solitude troublante de mon malheur
Et les larmes que je verse dans ma nuit emplie de pleurs
Se versent dans les méandres oubliées de ma douleur.
Je fus un ange.
Portant au dos des ailes étranges
J’étais un ange.
Brisé de sentiments qui dérangent.
Crois-moi…
Je crois que je t’aime.
Crois-moi.
Je crois que je te hais…
Si tu pouvais me craindre…autant que je t’aime…
Avoir peur de moi…me laisser croire que tu es mienne…
Laisse-moi donc dominer ton esprit…
Pour que ce ciel déchiré me ramène à la vie.
Oh non, je n’espère plus…
Quel vienne l’heure cruelle de ma rédemption.
Admire-moi expiant ce que je fus.
Ange adorant cette tendre inanition…
oua les super b on ressent bien ke tété triste kan tu la écri la tristesse inspire tj