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Bakatsuki [french guild]

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mitch-38
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PostPosted: Wed Oct 15, 2008 9:35 am



le but de ce post est de faire peur grace a vos anecdotes ou vos histoires(connues ou pas)
( vous pouvez aussi poster des images si vous en avez)
laissez parler votre imagination ou vos coup de coeurs


edit: ce poste est disponible pour tout le temps, postez vos histoire, pas seulement d'horreur mais des blagues, des contes....
 
PostPosted: Wed Oct 15, 2008 1:24 pm


S'il y a bien un truc que je peux pas faire c'est bien raconter les trucs qui m'ont vraiment fait flipper! Après on va plus me prendre au sérieux lol.

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oursnibal

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Lys-bleu
Vice Captain

PostPosted: Wed Oct 15, 2008 1:28 pm


Hmm... J'vais essayer de préparer quelque chose! twisted
PostPosted: Wed Oct 15, 2008 1:58 pm


Moi j'aimerai bien vous faire partager le premier chapitre de mon roman dont le thème est Halloween (ça tombe bien) mais je ne sais pas si 15 pages ne vous ferez pas fuir... Je vous jure que c'est effrayant à souhait...

mitch-38: HS de ce topic suprimé^^

Falckone


mitch-38
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PostPosted: Tue Oct 28, 2008 9:43 am


je commence avec cette histoire trouvé sur le net :

Marguerite Vargas avait 44 ans quand elle se mit à penser. Ce fut bref et éphémère.
Elle était assise chez elle, à la table de cuisine, devant un café refroidi. Elle se sentit tomber dans le vide, ou happée par le vide, avec cette conscience aiguë de ne pouvoir atterrir quelque part ; le sol était jonché de morceaux de verre brisé. Ce fut une sensation «longue» et très précise. Elle réussit à s’en défaire en se levant très lentement et en consacrant dix minutes à un gommage de ses jambes. Le reste de sa journée se déroula sans accroc.
Le lendemain, c’était un mardi. Marguerite Vargas était mariée et ses enfants avaient quitté la maison depuis quelques années pour poursuivre leurs études ou leur vie. Peu importait se dit-elle. Cette pensée la choqua. Elle jeta un regard vers un assemblage de photographies familiales et la même pensée revint à la charge face à ces photos. Elle se vit brièvement elle aussi, plus jeune, épanouie apparemment. Ce fut comme un malaise, vague. Elle chercha autour d’elle une cigarette. Elle n’avait jamais fumé jusqu’alors. Il était grand temps de partir au travail ; elle attrapa son sac à main, rectifia son rouge à lèvres et pour ce faire se vit dans le miroir du vestibule. Son trouble ne la quitta pas durant le trajet, dix kilomètres environ, une dizaine de minutes sans compter les arrêts aux feux rouges.
Le mercredi matin, elle se réveilla enjouée, débordante d’énergie. C’était son jour de congés. Heureusement. Le magasin ne désemplissait pas de mères et d’enfants assez impatients en général. Cela faisait cinq ans qu’elle avait pu déserter ce jour là et se consacrer à elle-même. Le mercredi matin, c’était donc aussi le moment où elle faisait durer le petit déjeuner, en écoutant très attentivement la radio. Ce matin là, insensiblement, elle se sentit glisser à l’extérieur d’elle. Son énergie intacte flottait au-dessus d’elle, comme un soleil un peu trop haut, un peu trop intense et irrémédiablement inaccessible. Hébétée, elle la regarda de façon étrange avant de se rappeler que sa fille venait manger avec elle à midi. Elle se consacra aux préparatifs du repas d’une manière méticuleuse, concentrée et s’aperçut qu’elle sursautait au moindre bruit. Quand sa fille sonna à la porte d’entrée, Marguerite Vargas aurait voulu ne pas être là. Le soir, elle se coucha tôt, non qu’elle soit fatiguée de sa journée ; elle était vidée comme une plage à marée descendante. Ce que la mer recouvre était là mis à nu. Quand son mari la rejoignit, vers 22 heures, Marguerite Vargas faisait semblant de dormir.
Abasourdie par les bavardages des clientes, elle décida le lendemain midi de s’offrir un temps mort au café de l’Epée. Le temps s’était alourdi, l’orage menaçait, Marguerite le savait à l’odeur qui plombait la salle du café et à cette sorte d’anxiété qui déposait son galet jusque dans son estomac. En début de soirée, elle reconnut les pas de son mari monter allègrement les escaliers. Elle eut à peine le temps de passer son verre sous le robinet et de se rincer la bouche. Elle se retourna promptement, les mains pressées sur le rebord de l’évier et accueillit son époux d’un sourire. L’orage n’avait pas encore éclaté. Elle n’avait pas pensé à préparer le dîner et les magasins, à cette heure, étaient tous fermés.
Le dernier jour, ce qui la surprend c’est une ébullition incontrôlée au bas-ventre. Qu’il faut absolument contrôler. C’est comme si tous ses globules rouges grouillaient, accéléraient leurs mouvements. Son corps tout entier devient un haut fourneau dans lequel a lieu un échauffement extrême, une ébullition, une éruption volcanique dont on ne distingue rien, que du blanc. Que du fer-blanc, à l’extérieur. Alors qu’en elle, tout ce sang, ces globules affolés, ce métal se tordent, se métamorphosent, se heurtent comme les voitures sur les pistes d’auto-tamponneuses. Et elle, debout, les mains plaquées au ventre, le visage livide, les jambes dérobées, elle est en train de perdre les eaux, d’accoucher là sur un carrelage de cuisine, de perdre la tête, la boule, de recueillir entre ses doigts un monstre, un cauchemar vivant, un entrelacs de cheveux, de glaires et de chairs, un alien pathétique et sa gorge se resserre, se ferme sur des cendres, des amas de sable, des sensations de gravillons et le cri qui s’enlise là, à l’agonie, s’entête à exploser ailleurs dans son crâne, son ventre et pousse, pousse ce qu’il trouve d’embûches, d’obstacles, de réticences. Et cela dans un silence, un scandaleux silence. Si digne n’auraient pas hésité à souligner les observateurs, si livide hurle Marguerite son corps entre les mains et sa vie en-allée. Ne reste que son enveloppe un peu translucide, purement vide et un paquet sanglant, à terre, encore palpitant : un cœur, un foie, un cerveau ? Ce qu’il y a dans cette cuisine, c’est le résultat d’une implosion, d’une souffrance infâme ; ça ressemble à un court-métrage fantastique, à une séquence gore et ce n’est que la banale et surprenante folie de Marguerite Vargas, corps et esprit, matières et rêves, enfances et illusions. Tout a pris feu, tout a volé en éclats, tout en cinq jours a légèrement bougé et ce léger là, ce tremblé, ce glissé, à l’échelle de Marguerite, a les mêmes résultats qu’un infime glissement de plaques tectoniques sous une Afrique sub-saharienne. De telles éraflures de terrain transforment un paysage.
A la fin de cela qui a eu lieu, Marguerite se souvient d’une visite à Marie-Galante en janvier 1990. Le car de touristes longeait une plage superbe, que Marguerite s’extasiant, avait trouvé très typique sans doute des Caraïbes quand le chauffeur leur expliqua que cette plage n’existait pas voici un mois seulement, que ces messieurs-dames voyaient là sous leurs yeux un exemple de ce que Hugo le cyclone avait produit. Oui, Hugo déplaçait des paysages, il en détruisait et il en charriait d’autres ailleurs. On parlait beaucoup des habitations détruites et en folie, des marinas déboussolées et des bananeraies couchées, mais voyez ce que ces messieurs-dames admiraient en ce moment, c’était la nouvelle plage de Marie-Galante, la fille magique du Seigneur Hugo !
Mais, là du sol de sa cuisine, Marguerite ne devine pas son ailleurs à elle. Où se trouve transportée sa plage de sable blanc ? La déflagration muette qu’elle vient de subir sur pieds a tout détruit, l’ici et l’ailleurs. Ce n’est pas la peine de chercher la plage de sable blanc, ce que le Seigneur Hugo a pu faire, Marguerite ne le peut pas. Cela qui gît au sol n’est ni mort ni vivant ni rien. Cela est laid, Marguerite ne veut pas le prendre dans ses bras, ni le bercer, ni le regarder, cela ne peut être de moi observe-t-elle et cela n’est pas moi déclare-t-elle en fixant l’enveloppe translucide encore debout sur le carrelage, comme voilée. Et Marguerite se rend compte, effrayée, lucide qu’elle observe ces deux objets, ces deux formes, ces deux silhouettes vivantes et mortes qui sont elle et qui ne sont pas elle et la posent si clairement extérieure à tout cela, même à ce qui vient d’avoir lieu, même à la souffrance à l’intolérable au silence…

Le 8 juin, Marguerite passe sa tête dans le nœud coulant des draps encordés. C’est la première fois qu’elle en réussit un du premier coup. Elle se pend, le corps face au jardin, le visage tourné vers le cèdre. Au cas où peut-être un dernier regret…
Madame Martin, la femme de ménage découvrit le corps, en arrivant à 9h30. Elle n’était pas hystérique et fit donc ce que son sens pratique lui dictait. Les visiteurs qui le lendemain vinrent assister le mari de Marguerite la trouvèrent belle, épilée et morte.  
PostPosted: Tue Oct 28, 2008 10:02 am


j'en donne 3 (je sais c'est pas bien) trouvé sur le net mais très courte

Une étudiante, Claire, vit sur un campus.
Elle partage sa chambre avec une amie colocataire.
Vers 17H30, Claire se rappelle qu'elle doit aller rendre un livre à la bibliothèque avant sa fermeture, dans 1 heure.
Elle demande à sa colocataire si elle veut l'accompagner parce qu'ensuite elle va en soirée avec des amis.
Son amie lui répond que non, elle est fatiguée et bien décidée à se coucher tôt.
Claire s'en va alors, passe sa soirée avec ses amis, puis se souvient d'avoir oublié son porte-feuille.
Elle retourne alors vers sa chambre, ouvre la porte et est prête à allumer la lumière quand elle se rappelle que son amie est en train de dormir.
Elle rentre donc à l'aveugle dans la chambre, et va chercher son porte-feuille dont elle sait ou elle l'a laissé et s'en va de nouveau.
Sa soirée avec ses amis terminée, elle rentre au campus, mais en se dirigeant vers sa chambre, elle y voit un attroupement de policiers.
Un de ces derniers lui demande si elle partage cette chambre.
Claire répond que oui, le policier l'emmène alors à l'intèrieur.
Elle voit le lit de son amie maculé de sang, aussi sur le miroir de la chambre, Claire voit écrit au rouge à lèvre :

"Es-tu contente de ne pas avoir allumé la lumière?"










C'est l'histoire d'une petite fille d'environ 12 ans qui regardais la télé avec sa grande soeur de 16 ans un soir ou ses parents étaient partis,elles regardèrent une série alors que d'un coup elles furent couper par les informations qui disaient q'un fou en fauteuil roulant s'était évadé de l'asile,alors elles désidèrent de dormir ensemble quand tout à coup elles entendirent un drôle de bruit...

''pam pam chhh pampam chhhh"
alors la grande soeur dit à sa soeur de se cacher sous le lit comme ça se serait elle qui se ferait tuer....


le lendemain la grande soeur se réveilla, surprise de ne pas être morte,elle regarda sous le lit et vit sa soeur éventrer avec écrit sur les murs :


''Je peux ramper....''








C'est l'histoire d'une baby-sitter qui a la charge de deux petits garçons dans une immense maison entourée d'une forêt.
Il se fait tard, les garçons sont couchés depuis longtemps et les parents n'arrivent toujours pas. Puis, le téléphone sonne.
La voix lugubre d'un homme se fait entendre:
" Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
Ce disant que cela devait être une mauvaise plaisanterie, la baby-sitter n'en tient pas compte.
Au bout de 15 minutes, le téléphone sonne à nouveau. La même voix ce fait entendre:
"Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
La baby-sitter commence à avoir la frousse mais elle n'en tient toujours pas compte. Au bout de 10 minutes, le téléphone sonne à nouveau:
" Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
Paniquée, elle appelle la téléphoniste et lui demande de retracer l'appel.
Au bout de trois minutes, la téléphoniste la rappelle lui disant de sortir au plus vite de la maison car l'appel a été localisé sur la deuxième ligne de la maison qui se trouve au deuxième étage.
Paniquée, la jeune fille s'enfuie.
Le soir même, lorsque les policiers arrivent sur les lieux, ils ont retrouvé les deux enfants éventrés et mutilés...
 

Fuien
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mitch-38
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PostPosted: Wed Oct 29, 2008 5:07 am


cette histoire se passe dans un lycee d'une ville.
Un jour il y eu un suicide dans les toilettes de l'etablissement.
Un eleve s'etait pendu dedans.
Aussitot, le lieu fut ferme par la police pour enquete.

Quelques jours plus tard, 3 collegues du jeune suicide se retrouvent la nuit pour penetrer dans les toilettes interdites afin de chercher les indices permettant d'expliquer le geste de leur ami.

Selon eux, il etait impossible que celui ci puisse en venir a se suicider... Aucune raison n'etait valable, tant dans le cadre familial, amoureux, ou estudiantin.

Aussi, le soir venu, ils penetrent par effraction dans le Lycee et arriverent devant les toilettes et forcerent la porte.

Les jeunes gens sans doute effrayes par les circonstances, n'oserent pas entrer. Le plus courageux decida alors d'emprunter une lampe torche et d'y entrer seul, les autres restant dehors pour verifier que personne ne les surprennent en flagrant delit.

Il enjamba les bandes jaunes des policiers, et penetra dans les toilettes des garcons.

Les autres ne peuvent voir ce qu'il se passa a l'interieur.
Mais peut de temps apres, un grand bruit de vitre brisee se fit soudainement entendre. Cela terrorisa les jeunes gens restes dehors. Mais plus rien ne se fit entendre.

Passe quelques minutes, le jeune garcon qui s'etait introduit dans la piece revint. Il avait le visage d'une paleur extreme.

Ses amis s'empresserent de lui demander ce qui s'etait passe, et pourquoi il y eu ce bruit sourd...
Le jeune homme leur dit simplement qu'il a compris pourquoi leur collegue s'etait donne la mort quelques jours avant, puis raconta ce qu'il avait vu:

Lorsqu'il etait entre dans les toilettes, il passa un moment a scruter les environs avec sa lampe. Tout semblait normal.
Un grand mirroir se trouvait au dessu des lavabos. Le garcon le fixa un moment... rien d'etrange jusqu'a present.

Soudain, le mirroir se changea.
Il se mit a devenir sombre, puis a ne plus refleter son image. A la place, le mirroir commenca a diffuser les scenes perturbantes, tristes, honteuses, dramatiques et tristes de toute sa vie. Cela dura un moment. Sur le coup, le jeune garcon se sentit tellement triste qu'il a epprouve un profond desir de se tuer. Mais il se ressaisit d'un coup et lanca sa lampe torche contre le mirroir qui explosa en mille morceaux... Il souffla alors un moment puis sortit rejoindre les autres.  
PostPosted: Wed Oct 29, 2008 5:32 am


Les raviolis de l'angoisse

Un jour il y a un de mes potes qui l'a raconter une histoire vraiment bizarre, un truc étrange.
Il connaissait quelqu'un, enfin on lui avait dit que dans un restaurant assez connu on servait des raviolis qui étaient fabriqué avec de la chaire humaine.

Comme ce b'était pas le genre a se laisser impressioner comme ça, on ne l'effrayait pas pour si peu. Il se dit: "c'est des conneries, j'en ai rien a foutre!"
Et bien il achèta des raviolis dans ce resto.

Mais après, alors qu'il étaiet entrain de rentrer chez lui, il senti comme une présence derriere lui. Alors il se retourna. Mais il n'y avait personne derriere lui. Alors il réflechi et il décida d'ouvrire la boîte de ravioli pour verifiez au cas ou.
Et c'est alors qu'il constata qu'avec stupeur qu'un des raviolis avait tout simplement disparu.
Il commencait alors a pétocher et pus reflexion faite il se dit que l'explication était vraiment toute bête: il devait manquer un ravioli dans la boîte depuis le début, tout simplement.

Mais annouveau prit d'un doute, il voulait verfier et souleva lentement le couvercle. Et la, il constata avec efroi qu'un autre ravioli manquait dans la boîte.
Fou de terreur, il courru pour rentrer chez lui le plus vite.
Puis il reprit son calme et décida de jeter un nouveau coup d'oeil dans la boîte pour verifiez.

Alors a ce moment la, qu'il découvri qu'il manquait encore 3autres raviolis a l'interieur

Prit d'une terreur panique, il se mit a hurler!
Vite il referma la boîte. Et puis de nouveau il saisit le couvercle pour le soulever.
Et la, plus rien! La boîte était totalement vide!! Il n'y avait plus un seul ravioli au fond de la boîte!

Alors par les dragons de l'enfer comment est-ce possible!!
Alors dans un état de trance totale il ouvra encore une fois la boîte.

Et c'est alors.....Qu'il s'appercu que tout les raviolis c'étaient collé au couvercle de la boîte ^^

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D'ou me vient cette histoire???

d'ici

Azuria1
Crew


Falckone

PostPosted: Wed Oct 29, 2008 9:45 am


Elles sont supers biens, continuez d'en poster !

Ma préférée est la toute première de Shining Fab !
PostPosted: Wed Oct 29, 2008 10:22 am


mdr les raviolis de GTO ^^

mitch-38
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oursnibal

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PostPosted: Fri Oct 31, 2008 10:01 am


http://www.elgweb.com/histoires.php

Voici un lien pour une multitude de nouvelle "horrible" que j'aime beaucoup.
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Bakatsuki

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